Autres sons de cloches !

mercredi 31 mars 2021

 




À SAVOIR : CONSTATS SUR LES  EFFETS INDÉSIRABLES DES VACCINS 

Des constats du docteur Peter El Baze, ancien médecin, attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, ancien Chef de Service de Médecine Interne.

Des données vues sur sa page VK au 29 mars 2021.

Voir la photo.


Le docteur se réfère à la page ici :

http://www.adrreports.eu/fr/




 


VIDÉO / MAÎTRE CARLO BRUSA DÉVOILE TOUTE LA SUPERCHERIE DU COVID-19


Voir ici : 

https://odysee.com/@LiBERTY_VOICE:b/Carlo-Brusa-dévoile-toute-la-SUPERCHERIE-du-COVID-!:9


 


FRANCE / MIEUX VAUT TARD QUE JAMAIS - LE PR DELFRAISSY (*) RECONNAÎT L’ÉCHEC DU CONFINEMENT ET DES VACCINS DANS LE LANCET ! 


Après nous avoir chanté les vertus des confinements, des autres mesures prétendument sanitaires et des vaccins pendant presque un an, cinq membres du comité scientifique, dont le président, reconnaissent que le confinement est nocif et que les vaccins ne résoudront vraisemblablement pas la crise, voire l’aggraveront !


Dans une courte lettre au Lancet [1] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy et Denis Malvy proclament :

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire… »

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. »

« Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Constats courageux, mais terribles et bien trop tardifs de ceux qui ont promu ces mesures liberticides pendant dix mois et joué aux apprentis sorciers avec nos vies !

Il n’était pas nécessaire d’être réputé scientifique pour le prévoir d’emblée fin mars 2020

Nous sommes de simples médecins, mais dès le 21 mars 2020 nous dénoncions dans une tribune[2] le caractère non scientifique, médicalement stupide, socialement et économiquement désastreux d’une telle mesure. Le 27 mars, nous récidivions[3] espérant ainsi réveiller les réflexions d’une population tétanisée par la peur créée par une propagande d’une intensité jusque-là inégalée en France. En vain.


L’expérience marseillaise de l’an 1720

Nous rappelions que le confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants) n’avait jamais fait la preuve de son efficacité dans le monde réel et qu’enfermer ensemble malades et bien portants avait un grand risque d’accélérer les contagions.

Cela avait été démontré lors de la grande peste de Marseille de 1720[4] où le confinement militaire strict avait abouti à la mort de la moitié de la population de la cité, sans empêcher la propagation de l’épidémie à la Provence et à l’Italie. La comparaison, d’après les chiffres de l’OMS, des évolutions de l’épidémie en Belgique confinée et aux Pays-Bas non confinés a malheureusement confirmé nos craintes... (Extrait de l’article)


Voir l’article complet ici : 

https://www.lelibrepenseur.org/le-pr-delfraissy-reconnait-lechec-du-confinement-et-des-vaccins-dans-le-lancet/



(*) Jean-François Delfraissy est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l'immunologie. Il a été nommé président du Comité consultatif national d'éthique en 2016...


 




NORVÈGE,... / UN GROUPE DE CHERCHEURS INTENTE UNE ACTION EN JUSTICE CONTRE LE GOUVERNEMENT NORVÉGIEN POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ AU TRIBUNAL DE LA HAYE


... Le combat se mène désormais sur à peu près tous les fronts concernant la mise en accusation des gouvernements locaux et responsables de la « gestion » pitoyable et criminelle de la crise de coronavirus. Récemment, je vous annonçais les recours déposés devant le Tribunal de La Haye et la Cour suprême d’Israël, pour violations du code de Nuremberg et crimes contre l’humanité, par les deux avocats israéliens Ruth Machnes Suchovolsky et Arie Suchowolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co. À ceci s’est ajoutée une plainte similaire déposée devant la Cour pénale internationale par le magistrat italien Angelo Giorgianni pour “crimes contre l’humanité”.

Une coalition internationale est en train de se former avec les mêmes objectifs. J’ai appris il y a peu que la Suisse s’ajoutera bientôt à ce groupe. Évidemment, les avocats Larry Klayman et Francis Boyle sont directement impliqués dans ces procédures judiciaires (lire ici).

Or, voici une autre bonne nouvelle en provenance de la Norvège : un groupe de chercheurs se nommant « WHO Guards. The Guardians » (Gardiens de l’OMS. Les gardiens) intente présentement une action en justice contre la politique corona. En effet, le gouvernement norvégien est poursuivi pour crimes contre l’humanité. Un rapport à ce sujet a été envoyé au poste de police d’Ålesund. Une copie de ce rapport a aussi été envoyée à la Cour pénale internationale, puis publiée sur Internet. Le rapport de police de 3 pages était accompagné d’un rapport de recherche de 53 pages originaire de Norvège... (Extrait de l’article)


Voir tous les détails et l’article complet ici : 

https://guyboulianne.com/2021/03/29/un-groupe-de-chercheurs-intente-une-action-en-justice-contre-le-gouvernement-norvegien-pour-crimes-contre-lhumanite-au-tribunal-de-la-haye/?fbclid=IwAR3lCVgrJPv1dvZ22l44rLUWCIfQ_ry3_YhNkoKkP9fpWXKPe1k_LQ-aQXM


mardi 30 mars 2021

 




USA / BIDEN PART À L’ASSAUT DU CHANGEMENT CLIMATIQUE 


Par Alastair Crooke -  Saker francophone - le 30 mars 2021 


Biden a claironné le mot sacré « démocratie » à maintes reprises, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, dont trois fois rien que dans sa phrase de conclusion ; mais le masque est déjà tombé de ce mythe moralisateur datant des années 1940, qui a longtemps servi aux États-Unis. Les récents événements dans ce pays ont mis en évidence le fait que cette « démocratie » n’est qu’une imposture et ont mis à nu les divisions amères qui se cachent derrière la façade.



La position de l’Amérique en tant que « leader mondial », comme l’a fait observer Stephen Wertheim dans son livre Tomorrow the World, était fondée sur un ensemble de circonstances momentanées et atypiques de l’après-guerre qui ont donné la primauté aux États-Unis ; mais Wertheim poursuit en soulignant que « ces jours d’unipolarité incontestable sont révolus et ne peuvent être rétablis ». L’empire américain est donc dans l’impasse : sa justification morale et politique de superviser un ordre mondial modelé selon ses normes est désormais au-delà de ses capacités (militaires ou financières).


Pourtant, ces « pathologies » originales intégrées au système ne veulent pas disparaitre. Aris Roussinos, éditeur chez Unherd note : « Alors que le mythe utile [de la diffusion de la démocratie s’est transformé en un] dogme, la croyance névrotique selon laquelle la fin de l’hégémonie américaine signifierait le retour de forces obscures s’est tellement enracinée qu’elle limite la capacité de l’Amérique à négocier en tenant compte de la réalité… En effet, il existe des indications inquiétantes selon lesquelles les dirigeants américains croient que la victoire leur est prédestinée, uniquement par ce qu’ils perçoivent de leur propre vertu morale : comme si les victoires de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre froide étaient fondées sur une idéologie correcte ».


Robert Kagan a récemment « mis le doigt » sur l’impasse : En l’absence du mythe autour duquel l’empire s’organise (maintenant que la démocratie américaine est ternie), la logique morale de toute l’entreprise commence à s’effondrer. Mais Kagan rajoute que l’empire est pourtant nécessaire pour préserver la « démocratie » chez nous : Une Amérique qui se retirerait de l’hégémonie mondiale ne posséderait plus non plus l’impulsion cohésive nécessaire pour préserver l’Amérique, en tant qu’idée, chez elle.


Les mots clés ici sont « les victoires étaient fondées sur une idéologie correcte ». Lors du procès de mise en accusation de Trump, les dirigeants Démocrates de la Chambre des Représentants ont invoqué à plusieurs reprises la menace que le président Trump faisait planer sur « notre démocratie ». La notion de menace envers « notre démocratie » comme argument politique est nouvelle. Elle est apparue récemment parmi les progressistes, devenant un terme courant de l’art politique. Le mot « notre » implique que pour être membre de « leur » démocratie, il faut partager leurs convictions. Si vous n’êtes pas dedans, vous êtes dehors. Et si vous n’en faites pas partie, ils peuvent vous poursuivre parce que vous êtes une menace pour la démocratie.


De plus, alors que Biden montrait, à Munich, sa fidélité au mythe de la diffusion de la démocratie, il a également mentionné la « 4IR » (la quatrième révolution industrielle, un terme très utilisé à Davos pour étayer leur plaidoyer en faveur d’un Grand Reset). Le gouvernement Biden affirme très clairement que le credo qui définit et distingue « notre démocratie » et qui exige la conversion de « notre » pensée et de « notre » action, est la poursuite de l’application des droits de l’homme (c’est-à-dire de la diversité des identités) au monde entier et un engagement primordial à remédier au changement climatique partout dans le monde. Les outils pour entreprendre cette mission rédemptrice impliquent que les États-Unis doivent commander la sphère numérique (et cybernétique), dominer dans l’espace, et assurer une primauté sans réserve des États-Unis sur la technologie de l’IA, en informatique quantique, en robotique, en impression 3D et sur la 5G.


Ainsi, « America is back », et le « Grand Reset » se déploie comme une vision grandiose, on dirait. Cela combine une approche de choc, presque guerrière, pour le développement des technologies de pointe, comme ce fut le cas pour le programme Apollo des années 1960, et pour faire du « climat » le thème central de toutes les sphères d’activité du gouvernement américain. Biden a promis de consacrer 2.000 milliards de dollars à la construction d’une infrastructure nationale « propre ». Cette somme s’ajoute aux 1.900 milliards de dollars du paquet « Stimmie » qui vient d’être adopté par le Congrès.


C’est plutôt simple. Mais il y a un revers à tout cela. C’est que l’administration Biden a précisément l’intention d’utiliser la politique de l’identité, la puissance numérique et cybernétique des États-Unis, les restrictions à l’exportation et à l’importation de technologies – et surtout la « crise climatique » – comme le moyen de réimposer la primauté des États-Unis dans un ordre mondial, avec sa « nouvelle vertu », axé sur le changement climatique... (Extrait de l’article) 



Voir l’article complet ici : 

http://echelledejacob.blogspot.com/2021/03/biden-part-lassaut-du-changement.html#more


 


CANADA / GESTION SANITAIRE : MÊMES PROBLÈMES QU’EN EUROPE / 

LE COLLÈGE DES MÉDECINS A-T-IL FAILLI À SA MISSION ? 


Par le Dr Robert Béliveau, médecin retraité - La Presse+ - 29 mars 2021. 


Dans un article récemment publié dans L’Actualité médicale, le président du Collège des médecins, le Dr Mauril Gaudreault, nous fait part ouvertement de ses inquiétudes : « Un ordre professionnel doit protéger le public, mais je me demandais si le public se sentait protégé. » Puis, un peu plus loin dans le texte, autour du thème très actuel de la COVID-19, il ajoute « qu’il n’a pas pris position sur certains enjeux sur la place publique, question de laisser toute la marge de manœuvre nécessaire pour que la santé publique puisse faire son travail », expliquant que « ce n’est pas le temps présentement de formuler des critiques ».


C’est en soi une prise de position. Très claire. Et très dangereuse.


Elle laisse ainsi le champ complètement libre à la Santé publique, qui ne pourrait être sujette à aucune critique des mesures suggérées ou imposées.

Comme si la Santé publique et son directeur étaient détenteurs de la vérité. Pourtant, après plus d’un an d’un régime de plus en plus liberticide, une stratégie dominante en Occident, la communauté médicale se doit de réagir. De briser le silence. D’oser prendre la parole !


Que le président du Collège préfère rester « silencieux », je veux bien.

Toutefois, le Collège, qui devrait protéger la population et favoriser, sinon imposer, un débat ouvert et libre parmi tous les membres de la société (médecins non experts inclus), est silencieux comme une tombe.

Pire, il impose l’omerta parmi ses membres, favorisant une dictature médico-politique et un discours aligné, monolithique et unidimensionnel, oubliant que l’erreur est monnaie courante en médecine. Or, la science, comme l’expliquait le philosophe Karl Popper, n’est science que si elle se fait le devoir de mettre en doute, de contester et de toujours tenter de réfuter toute « vérité » présumée.

C’est donc la responsabilité de la médecine, qu’elle soit Santé publique ou civile, d’informer, de proposer, d’éduquer et de se méfier des tendances prétentieuses à imposer, infantiliser, culpabiliser et dicter. Or, le Québec, comme une bonne partie de l’Occident, s’est plié à une dictature sanitaire, une « doctature », où l’arbitraire est roi. La science est ainsi instrumentalisée et présentée comme un outil infaillible qui fournit une base incontestable pour justifier des décisions qui affectent toutes les couches de la société, tant celles menacées que celles très peu à risque.


Mal faire ou trop en faire


Nortin Hadler a classé les erreurs médicales en deux catégories : les premières sont de « ne pas faire ou de mal faire ce qui est médicalement requis » ; les deuxièmes, les plus fréquentes aujourd’hui, sont de trop en faire, de surmédicaliser, de surtraiter, donc, de parfaitement faire ce qui n’est pas nécessaire ou ce qui s’avère nuisible. Depuis le début de cette crise, nos autorités ont commis les deux types d’erreurs.

Le premier confinement se justifiait alors qu’on était en pleine crise, en pleine confusion. Il eût été suicidaire politiquement pour le gouvernement d’être passif alors qu’un vent de panique nourri par les médias gagnait la population. Rapidement, il a été possible d’identifier les populations présentant un risque élevé et on aurait pu mieux cibler, mieux orienter diverses mesures. Rejetant cette approche, les autorités s’acharnent plutôt à faire plus (trop) de ce qui ne fonctionne pas, causant d’énormes dommages collatéraux. Pour éviter de paraître négligent, on provoque ainsi des dommages irréparables, en particulier envers les plus démunis, les jeunes, les femmes, les enseignants, les entrepreneurs et tant d’autres. Pour quiconque ouvre les yeux, ces dommages collatéraux sont insoutenables.


Aveuglée par la pandémie, la Santé publique ignore une règle fondamentale en médecine : Primum non nocere, d’abord ne pas nuire.


Actuellement, les seuls médecins qui peuvent impunément s’exprimer, émettre leurs opinions sans s’exposer aux foudres du Collège sont les retraités comme moi. Cet état de fait est inacceptable dans une démocratie. Les médecins sont aussi des citoyens et doivent pouvoir s’exprimer et débattre. Librement. Sans inquiétude. En bâillonnant ses membres, le Collège continue de manquer à son devoir de « protéger la population ». Il convient de le dire haut et fort. Et de souhaiter un changement drastique d’attitude.


Je termine par deux citations, une du médecin Norbert Bensaid (auteur de La lumière médicale, les illusions de la prévention) : « On favorise les médecins savants au détriment de ceux qui savent soigner. Il est, hélas ! faux que les deux aillent ensemble. Très souvent, on est prisonnier de ce qu’on sait ou croit savoir, et on ne sait plus s’en servir. [L]a relation médecin-malade reste le lieu privilégié d’une éducation sanitaire qui ne retomberait ni dans le lavage de cerveau publicitaire, ni dans la catéchisation, ni dans la mobilisation, sous le couvert de la raison, des passions les plus dangereuses. »


L’autre citation est issue d’un éminent juriste, ex-juge de la Cour suprême en Grande-Bretagne, récemment retraité, Lord Jonathan Sumption : « Les gouvernements traitant de questions scientifiques ne devraient pas se laisser influencer par un seul groupe de scientifiques. Ils devraient toujours tester ce qu’on leur dit, de la même manière que, par exemple, les juges testent l’opinion d’un expert en produisant un contre-expert et en déterminant quel ensemble de points de vue s’avère le meilleur. »


Garder les yeux ouverts et l’esprit critique, c’est un devoir qui est au cœur de notre travail d’aidant. Un devoir citoyen aussi. Et pouvoir discuter librement, un droit que devrait âprement protéger et défendre sans compromis notre Collège, si son mandat est bien celui de protéger la population.


Source de l’article : 

https://plus.lapresse.ca/screens/b70dbbd5-4ad6-4cc6-8614-cfac48066d81__7C___0.html?utm_content=facebook&utm_source=lpp&utm_medium=referral&utm_campaign=internal+share


 


AU NOM DE LA SCIENCE. LA SCIENCE PEUT-ELLE SERVIR DE GUIDE À NOTRE SOCIÉTÉ ?

Laurent Mucchielli - 29 mars 2021 


C’est au nom de l'autorité de la science que le gouvernement a depuis un an décidé de mettre sous cloche les processus démocratiques et certaines libertés fondamentales. Or la science n'est ni infaillible, ni incorruptible. Revenant sur plusieurs exemples marquants de 2020, cet article montre que, en réalité, c’est bien plus souvent la politique qui a influencé la science que l’inverse.

Épisode 47


Par Maxime LANGEVIN, diplômé de l’École Polytechnique, doctorant en mathématiques appliquées pour la chimie


* * *


La science est étouffée par une volonté de gain politique et financier. Le covid-19 a déchaîné une corruption étatique à grande échelle, néfaste pour la santé publique.” Cette déclaration fracassante, pointant du doigt une suppression - voire une instrumentalisation - de la science par un complexe médico-politique, semble être tirée d’une tribune complotiste. C’est en réalité un extrait d’un éditorial de la prestigieuse revue de médecine générale The British Medical Journal écrit par Kamran Abbasi. Quelles sont les raisons qui peuvent pousser un scientifique reconnu et respecté, qu’on ne pourra pas vraiment qualifier d’anti-système (il a notamment été consultant pour la NHS, l’OMS, Harvard et McKinsey and Co., et intervient régulièrement sur les ondes de la BBC), à tenir des propos aussi virulents?


La pandémie de covid-19 et les réactions des gouvernements ont propulsé la science sous le feu des projecteurs. En effet, la société française, comme de nombreuses sociétés occidentales, est depuis bientôt un an régie par des obligations, interdictions et recommandations prises au nom de la science par nos gouvernements afin de lutter contre la propagation du Sars-CoV-2, le virus responsable de la maladie covid-19. Malgré leur empiètement sur de nombreuses libertés fondamentales (liberté de se déplacer, de commercer, de se rassembler, par exemple) et leur caractère contraignant, ces mesures ont été globalement bien accueillies, ne donnant pas lieu à des mouvements de contestation majeurs ou bénéficiant d’une forte couverture médiatique. Ce constat montre que nos sociétés ont temporairement accepté de subordonner leurs principes fondamentaux aux injonctions de la science, dans l’idée de garantir leur sécurité. La science, qui désigne à la fois la méthode scientifique (méthode permettant d’accéder au savoir, basée sur la confrontation entre observations, hypothèses et théories, prédictions et expériences) et l’ensemble des connaissances acquises par la communauté scientifique au travers de cette méthode, est souvent perçue comme un ensemble de connaissances objectives, privées de biais, et tournées vers l’amélioration de notre société. De par son caractère objectif, si la science recommande de contrevenir aux principes fondateurs de nos sociétés pour notre sécurité, il semble raisonnable d’accepter cette recommandation.

Cependant, avons-nous raison de prôner la subordination de nos sociétés à une autorité scientifique? La science peut-elle nous servir de guide pour décider de nos actes? L’idée que la science puisse guider le pouvoir politique néglige cependant le fait que celle-ci, pratiquée et diffusée par des êtres humains faillibles, est aisément corruptible, et qu’il puisse arriver que l’idéologie qui prétend suivre la science est en réalité en train de la manipuler pour justifier ses desseins politiques: ainsi, la science fut utilisée pour justifier les politiques eugénistes et racistes dans l’occident du XXème siècle, depuis la campagne Aktion T4 jusqu’aux expériences de Tuskegee. Cela ne signifie pas que la science est inhéremment mauvaise, ou ne peut servir d’aide à la décision politique. Cela signifie simplement qu’une décision n’est pas nécessairement ni juste ni bonne parce qu’elle est appuyée par la science et ses représentants. Ces leçons amères auraient dû nous enseigner que le simple appui de la science à des décisions ne peut prévaloir totalement sur le respect par celles-ci d’autres valeurs, notamment le respect de certains droits et libertés fondamentaux.


La corruption de la science peut s’immiscer à toutes les étapes de production et diffusion de savoir scientifique - production des données, publication dans des journaux, diffusion dans les médias, et manipulation par le pouvoir politique. L’objectif de ce texte est de présenter certains des exemples de corruption de la science depuis le début de la pandémie de covid-19, afin de mettre en lumière les limites, pour une société, de la démarche qui consiste à subordonner des valeurs et principes fondateurs à une direction qui lui serait donnée par la science... (Extrait de l’article)


Voir l’article complet ici : 

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/290321/au-nom-de-la-science-la-science-peut-elle-servir-de-guide-notre-societe?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-66&fbclid=IwAR2V2bEWz1MkCbe6hFHZ6c4syTAfYSNweVUshRS5KbtLxgBzGrWtEAxFo_4


Source de l’illustration :

http://loupcellard.com/numi_light/#/2







lundi 29 mars 2021

 




« ENTRE 19 % ET 29 % D’EFFICACITÉ »  - VOICI L’ÉTUDE QUI RÉVISE LES VACCINS 


par Roberta Damiata - Walt - 28 mars 2021 - Source : Il Giornale (Italie).


Une véritable bombe médiatique est lancée sur les vaccins Pfizer et Moderna par le professeur Peter Doshi qui a analysé les données sur la demande d’agrément des deux sociétés pharmaceutiques, découvrant que leur efficacité est bien en deçà des données publiées.


Au fur et à mesure que les jours passent depuis la sortie du vaccin Pfizer et maintenant aussi du vaccin Moderna, les nouvelles concernant leur efficacité et les effets secondaires possibles qu’ils pourraient avoir s’approfondissent de plus en plus.


Une véritable bombe a été lancée par le British Medical Journal signée par Peter Doshi, associé à l’Université du Maryland et qui s’occupe de la recherche sur les services de santé pharmaceutique, mais déjà le 26 novembre dans un article portant également sa signature, des questions avaient été soulevées sur l’efficacité revendiquée du vaccin... (Extrait de l’article)


Voir l’article complet ici : 

http://www.zejournal.mobi/index.php/news/show_detail/22730


 



ITALIE / LES COMBATS SE MÈNENT SUR TOUS LES FRONTS - LE JUGE ITALIEN ANGELO GIORGIANNI A LUI AUSSI DÉPOSÉ UNE PLAINTE POUR « CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ » 


Par Guy Boulianne - 27 mars 2021 


... Le magistrat italien Angelo Giorgianni vient de déposer à son tour une plainte pour “crimes contre l’humanité” devant la Cour pénale internationale. Cette plainte du fondateur de l’Organisation mondiale de la vie (Organizzazione Mondiale della Vita) s’ajoute aux recours qui ont été déposés devant le Tribunal de La Haye et la Cour suprême d’Israël, pour violations du code de Nuremberg et crimes contre l’humanité, par les deux avocats israéliens Ruth Machnes Suchovolsky et Arie Suchowolsky, du cabinet A. Suchovolsky & Co.


« Le verrouillage et toutes les mesures connexes – ces dernières si elles sont adoptées pour des périodes prolongées et indéfinies, bien au-delà de la phase d’urgence sanitaire, afin de risquer de dénaturer l’essence même des sociétés, et c’est le cas – sont un crime contre l’humanité en tant qu’ils constituent des crimes d’emprisonnement, de torture et sont des actes causant de grandes souffrances pour la santé mentale et physique. » (Article 7 du Statut de Rome)


C’est l’une des phrases les plus perturbantes de la plainte explosive signée par le magistrat italien et adressée il y a trois jours, mercredi 24 mars, au procureur de la CPI Mme Fatou Bensouda. « Nous vous demandons instamment d’envisager de déclarer les verrouillages et toutes les mesures connexes (mandat de masque, distanciation sociale, fermetures en cours d’écoles, d’entreprises, de bars, de restaurants, de gymnases, de musées, de théâtres et plus) comme un crime contre l’humanité. Les coûts économiques, humains, psychologiques et sociaux de ces politiques sont considérablement plus élevés que leur efficacité à sauver des vies et à réduire la propagation du virus », a écrit dans la plainte au tribunal de La Haye le Dr Giorgianni, juge civil sicilien, en tant que secrétaire général de l’Organisation mondiale de la vie.

Comme l’écrit mon collègue italien Fabio Giuseppe Carlo Carisio : « Grâce à une collaboration croissante entre le webmedia Gospa News, un portail d’information journalistique chrétien, et WLO News, la plateforme d’information de l’Organisation mondiale de la vie elle-même, nous sommes les premiers à pouvoir révéler le contenu de la plainte déjà anticipée par Gorgianni lui-même dans certaines vidéos comme “Nuremberg 2”, basée sur la violation des codes de Nuremberg qui, lors du procès historique tenu à l’automne 1946 dans la ville allemande, a coûté la peine de mort à des responsables nazis accusés de crimes contre l’humanité (24 condamnations à mort, 20 condamnations à perpétuité, 98 peines de 18 mois à 25 ans de prison). La plainte à la Cour pénale internationale est un livre blanc sur les tragédies causées par la pandémie de Covid-19, c’est un recueil statistique précis, basé sur des sources faisant autorité et internationales, des horreurs sociales dérivant des impositions des gouvernements nationaux. »



(Extrait de l’article)


Voir l’article complet ici :  

https://guyboulianne.com/2021/03/27/les-combats-se-menent-sur-tous-les-fronts-le-juge-italien-angelo-giorgianni-a-lui-aussi-depose-une-plainte-pour-crimes-contre-lhumanite/?fbclid=IwAR2DEG30VF4g9PrbptbXXnzQjyFUYD537ZefNF9On0jcTQtT8kMvmMlHxLs


dimanche 28 mars 2021

 


RÉSULTATS ACCABLANTS DE LA POLITIQUE VACCINALE ISRAÉLIENNE

Par Gilad ATZMON - The Unz Review - 23 mars 2021 - Traduction d’extraits : Google 


Hier, en Israël, un organe juridique indépendant qui se nomme Civilian Probe (CP)* a publié ses conclusions concernant l'impact catastrophique du vaccin Pfizer sur la nation.

Dans son rapport, qu'il a soumis au procureur général et au ministre de la Santé, le comité a énuméré une chaîne de défaillances juridiques et éthiques** critiques qui indiquent une possible tentative d'induire en erreur non seulement les Israéliens mais aussi le monde entier.

 

Dans le document, le CP pointe du doigt une tentative du gouvernement de dissimuler ses relations avec Pfizer. Le document indique que "l'accord Pfizer-Israël est étouffé par des segments caviardés, par conséquent, il n'est pas possible de l'analyser légalement et/ou de saisir pleinement ses implications en matière de santé publique... Cette dissimulation jette une lourde ombre sur quiconque a pris part aux négociations (Israël/Pfizer)...".


Le CP poursuit en affirmant que "afin de générer une demande (parmi la population) pour le vaccin, le gouvernement et le ministère de la Santé ont lancé une campagne agressive sans précédent, visant à faire en sorte que les Israéliens se précipitent pour "se faire vacciner". Au cours de cette campagne, toutes les règles de base de la prudence et de l'éthique médicales ont été ignorées, et avec elles également les directives clés formées après la Seconde Guerre mondiale concernant la participation aux essais médicaux (le code de Nuremberg). Au lieu d'explications transparentes et claires, le public a été induit en erreur par des déclarations officielles répétées selon lesquelles le (vaccin Pfizer) a été 'approuvé par la FDA' après avoir passé des 'tests rigoureux'".


Le CP accuse l'État d'Israël de conduite intentionnellement imprudente... "Les systèmes de surveillance qui permettent de détecter les effets secondaires sont une condition fondamentale et critique pour accorder une autorisation d'utilisation massive de tout nouveau médicament, certainement lorsqu'une opération de masse d'un traitement défini comme expérimental est donnée à des millions de personnes, et surtout lorsque ce traitement est donné à un pays entier...".

 

Mais Israël n'a pas réussi à mettre en place un tel système de contrôle.

"D'une part, l'État n'a pas informé les citoyens que le vaccin de Pfizer est à un stade expérimental qui n'est pas encore achevé, et qu'à ce stade ils participent effectivement à l'expérience. D'autre part, l'État n'a pas maintenu de systèmes de contrôle et de suivi transparents et accessibles au public. Par conséquent, il y a fort à craindre que cette omission critique et négligente découle : (a) de la crainte qu'une telle divulgation puisse interférer avec la réalisation des objectifs qui peuvent être impliqués par l'accord Israël-Pfizer ou (b) de la crainte d'une diminution de la demande pour le nombre exceptionnel de vaccins qui ont été achetés à l'avance par Israël, et / ou (c) de la crainte de révéler des résultats peu flatteurs de " l'expérience " menée en Israël. "


Le CP a le courage d'admettre que l'absence de système de surveillance n'est pas seulement un crime potentiel contre le peuple israélien, mais peut-être aussi un crime contre le reste du monde (c'est-à-dire l'humanité) :

"En l'absence d'un système de surveillance transparent qui rende compte des effets secondaires, non seulement le gouvernement israélien et le ministère de la Santé ont manqué à leurs devoirs envers les citoyens en leur fournissant des informations trompeuses, mais le gouvernement israélien a manqué à ses devoirs envers Pfizer et le reste du monde qui attend les résultats de la (soi-disant) "expérience en situation réelle" (qui se déroule en Israël)."


Pour lever tout doute, le CP alerte le procureur général israélien sur le possible acte criminel qu'implique la politique israélienne en matière de vaccins.

"Il s'agit d'une tentative de tromperie, soupçonnée d'être criminelle, qui devrait être examinée en profondeur avant que le procureur général n'autorise le gouvernement israélien à poursuivre la prétendue campagne de tromperie des citoyens d'Israël et du (reste du) monde."


Le CP a étendu son étude bien au-delà du domaine juridique, puisqu'il tente également de combler le grand trou créé par l'absence de système de surveillance de l'État.


"Que nous apprennent les faits sur le terrain ?", demande le rapport du CP. "L'examen des données de mortalité publiées par le gouvernement montre qu'il existe une corrélation entre le nombre de vaccinations et le nombre de décès. La surmortalité est perceptible chez les personnes jusqu'à 70 ans et également chez les adultes de plus de 70 ans, et demeure même après avoir compensé les décès attribués à Corona. Dans la population âgée de plus de 70 ans - en janvier 2021, une surmortalité de 19,5% a été observée par rapport à octobre 2020 - le mois où les données Corona étaient les plus élevées, et de 22,4% par rapport à janvier 2020. Dans la population plus jeune - une surmortalité de 7% a été observée en janvier 2021 par rapport au mois d'octobre 2020 - mois au cours duquel les données corona étaient les plus élevées, et de 7% par rapport à janvier 2020. Il convient de noter que cette tendance se poursuit également le mois suivant."


Comme mentionné ci-dessus, j'ai écrit sur la corrélation dévastatrice entre les vaccins et les décès depuis début janvier. En Grande-Bretagne et aux États-Unis, nous détectons une corrélation identique entre la vaccination de masse et la mort. Cependant, bien plus problématique est le domaine des effets secondaires, quelque chose que les gouvernements, l'OMS, l'industrie pharmaceutique corrompue, et bien sûr les géants des médias sociaux tentent de supprimer de la manière la plus orwellienne. Le PC israélien semble avoir produit le premier rapport solide sur les effets secondaires des vaccins de Pfizer. Ils ont publié un tableau de leurs conclusions, qu'ils résument ici :

"Comme on peut le constater en regardant le tableau - il y a près de 200 décès, et ceci - seulement en examinant environ 800 rapports de cas d'effets secondaires graves. Comme mentionné, le CP travaille toujours à l'analyse des effets secondaires et nous avons des centaines de rapports supplémentaires qui sont soumis à l'analyse. Notre étude indique jusqu'à présent qu'environ 25 % des décès concernent des personnes de moins de 60 ans. Environ 15% d'entre elles ont moins de 50 ans. 7 des personnes décédées sont à un jeune âge - moins de 30 ans. En outre, l'étude a identifié 27 cas de problèmes cardiaques chez des personnes de moins de 60 ans, dont 24 cas chez des jeunes de 17 à 30 ans. En ce qui concerne les questions relatives aux complications médicales féminines (y compris les complications de l'accouchement, les menstruations retardées ou irrégulières, etc.) - il convient de noter que le comité dispose d'environ 200 rapports supplémentaires qui n'ont pas encore été inclus dans la liste finale de nos conclusions."


*Pour lire le rapport du CP, rapport signé par Le Comité d'enquête civile avec l’Avocat Irit Yankovitz  et l'avocat Rotem Brown,  cliquez ici.

** Pour découvrir le patron de Pfizer, cliquez ici.


Original : https://www.unz.com/gatzmon/the-probe-into-the-israeli-vaccine-policy-and-its-outcome-is-beyond-damning/;  



samedi 27 mars 2021

 




ILS SORTENT LEURS PROCHES DE L’EHPAD


Par Pryska Ducoeurjoly - Réseau International - le 27 mars 2021


Épuisées par l’attente interminable d’un allègement des restrictions, certaines familles prennent aujourd’hui la décision de sortir leur proche de la maison de retraite. Témoignages...


Voir ici : 

https://reseauinternational.net/ils-sortent-leurs-proches-de-lehpad/



 




DES NOUVELLES DE GRÈCE... / PATRIE ET LIBERTÉ 


Par Panagiotis Grigoriou, Historien et ethnologue - 25 mars 2021. 


... Le 25 mars 2021 est un jour important pour l'Hellénisme et pour l’Europe car il marque le bicentenaire de la proclamation de la Révolution nationale grecque de 1821. Un long conflit durant lequel, les Grecs réussirent à obtenir leur indépendance de l'Empire ottoman. Sauf qu’en ce moment du bicentenaire, moment collectif dystopique et autant dyslexique, l’histoire n’a pas dit son dernier mot...

...

... Le peuple, qui ne se croit plus vraiment libre, n’est certes pas à la première usurpation de son histoire. Cependant, elle sera peut-être la dernière du genre... si l’on ne prend pas garde. Visiblement, en ce 25 mars, marquant la deuxième année de la contre-révolution coronariste, de bien nombreux Grecs ont davantage peur du virus que de la perte totale de ce qui reste encore de leurs libertés, déjà conditionnelles. 


Ceci est d'autant plus vrai, que le dit système de Santé, largement et méthodiquement défait depuis des années, s’est effondré un peu partout et d’abord à Athènes ; surtout quand le protocole suivi s’apparente plutôt... à une roulette russe pour les patients les plus fragiles. Sans traitement antibiotique au début et à domicile, lorsque les malades arrivent à l’hôpital et qui sont parfois intubés par des médecins non spécialistes, l’issue est hélas parfois fatale. 


Les syndicats des médecins hospitaliers sous la pression des événements, viennent de saisir la Haute Cour de Justice d’ailleurs à ce propos. Ils estiment que la “seule responsabilité dans le tri final des malades intubés, parfois même en dehors des unités de soins intensifs” et subséquemment celui des éventuels décès, est celle de l’État et des gouvernants. Sauve qui peut, d’après la “grande réussite” du confinement le plus long en Europe, toujours en vigueur depuis novembre dernier, déjà synonyme de la destruction de ce qui subsistait encore de l’économie grecque. 


Pourtant, ce n’est pas le COVID-19 qui menace le pays, en dépit de son instrumentalisation, mais plutôt, la destruction systématique de tout ce qui faisait alors sens dans son identité et dans sa culture. De même que la géopolitique historique sans cesse renouvelée en Méditerranée orientale, celle de de la Turquie et du jeu des Puissances alors compris...


Pauvre modernité, si riche en absurdités... (Extraits de l’article)


Voir l’article complet ici : 

http://www.greekcrisis.fr/2021/03/Fr0870.html#db