Autres sons de cloches !

samedi 10 avril 2021

 


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BELGIQUE,... / EXCELLENTE SYNTHÈSE AU SUJET DES VACCINS


Lettre écrite par un ami médecin belge de Reinfocovid Belgique avec la collaboration de docs4opendebate à l’attention d’au moins 540 médecins belges. Excellente synthèse ! À lire avec attention.


Vu dans la Revue de presse du 8 avril 2021 (https://quebec.notrebondroit.be/a/aelle-alix


Lien du texte et des références : 

https://docs4opendebate.be/wp-content/uploads/2021/02/Document-vaccinatie-Docs4opendebate_FR.pdf



« Cher Collègue,


Nous traversons une période très particulière pour laquelle, en tant que médecins, nous pouvons favoriser ou proposer à nos patients le renforcement de leur immunité naturelle, un traitement précoce à domicile et/ou une vaccination. Cela implique des prises de décision très importantes.

La vaccination a commencé cette année en Belgique avec le nouveau vaccin expérimental à ARNm de Pfizer - BioNTech, suivie par le vaccin à ARNm Moderna, qui ont fait l'objet d'une procédure accélérée de mise sur le marché avec une autorisation de commercialisation conditionnelle par l'EMA. Ces vaccins sont présentés par le gouvernement et nos experts comme étant très efficaces et sûrs. Il faudra, dès que l'approvisionnement le permettra, vacciner 70 à 80 % de la population.


Les principales questions que nous, médecins, devons poser anticipativement sont les suivantes:

- L'innocuité des vaccins covid-19 a-t-elle été démontrée ?

- L'efficacité des vaccins covid-19 a-t-elle été suffisamment démontrée ?

- Qui pourra être tenu responsable, si ces vaccins ne s'avèrent pas aussi sûrs que les médias et le gouvernement prétendent ? Les entreprises pharmaceutiques ont bénéficié d'une immunité les déchargeant de toute responsabilité.28 Alors, le gouvernement ? Ou bien nous, médecins, qui participons directement ou indirectement (par l'information aux patients) à cette campagne de vaccination ?


1. L'innocuité des vaccins covid-19 a-t-elle été démontrée ?


A. De quelles informations disposons-nous actuellement ?

L'EMA (European Medicines Agency, Agence Européenne des Médicaments) a récemment approuvé la commercialisation du vaccin Pfizer-BioNTech (Comirnaty) et du vaccin Moderna. Cela ne signifie pas que l'efficacité et l'innocuité complètes (à long terme) ont été démontrées. La phase 3 des essais cliniques est encore en cours pour les deux vaccins. Comirnaty et Moderna ont obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Cela signifie que Comirnaty doit encore « apporter des éléments de preuves supplémentaires sur leur vaccin. L'Agence examinera toute nouvelle information disponible et cette vue d'ensemble sera mise à jour si nécessaire ».1, 2

La société « Moderna continuera à fournir les résultats de l'essai principal, qui est en cours, pendant 2 ans ».3

Le gouvernement britannique déclare : « Bien qu'un niveau acceptable d'informations ait été reçu pour donner l'assurance que les normes appropriées de qualité, de sécurité et d'efficacité ont été respectées pour l'autorisation de lots spécifiques en vue d'une fourniture temporaire en vertu du règlement 174 des règlements, il convient de noter que le vaccin à ARNm COVID- 19 BNT162b2 reste à l'étude car la MHRA continue de recevoir des données de la société à mesure qu'elles sont disponibles. Cela comprendra, par exemple, des données de suivi à long terme sur l'efficacité et la sécurité ».4


Pfizer déclare qu'ils publieront les données "sur demande et sous réserve de révision". Pourtant, dans leur protocole d'étude, Pfizer stipule qu'il ne publiera les données que lorsque l'étude clinique en phase 3 sera terminée5 , c'est à dire dans 24 mois (= fin 2022)

     

La "déclaration de partage des données" de Moderna indique que les données seront "disponibles sur demande une fois l'étude terminée". Là aussi, l'étude clinique étant prévue pour une durée de 2 ans, il faudra attendre le milieu ou la fin de l'année 2022.5

   

B. Effets secondaires


B1. Considération générale


Pfizer a deux études en cours6 :

- BNT162-01 : Un essai de phase I/II en cours sur plusieurs sites, en deux parties, avec

augmentation de la dose, pour étudier la sécurité et l'immunogénicité de quatre vaccins prophylactiques à ARN SARSCoV-2 contre COVID-19, en utilisant différents schémas de dosage chez des adultes en bonne santé.

- C4591001 : étude de dosage en cours, phase 1/2/3, contrôlée par placebo, randomisée, en aveugle, pour évaluer la sécurité, la tolérabilité, l'immunogénicité et l'efficacité des candidats vaccins à ARN du SRAS-CoV-2 contre COVID-19 chez des personnes en bonne santé.7

Pour la phase 3 de la deuxième étude, le document d'information de la FDA daté du 10 décembre 2020 8 , et le MHRA public assesment report 6, indiquent ce qui suit :

Effets secondaires:

- Réactions locales : 84.1%

- Fatigue 62.9%

- Maux de tête 55.1%

- Douleurs musculaires 38.3%

- Frissons 31.9%

- Douleurs articulaires 23.6%

- Fièvre >38° 14.2%

- Des réactions indésirables graves sont plus fréquentes après la 2ième dose 8

<55 ans ≤ 4.6 %

>55 ans ≤ 2.8 %

- Des événements indésirables graves ont été observés dans 1.1% du groupe des vaccinés

et dans 0.6% du groupe placebo 6

- Paralysie de Bell 4 dans le groupe des vaccinés – 0 dans le groupe placebo

- Appendicite 8 dans le groupe des vaccinés – 4 dans le groupe placebo

- Des événements indésirables très graves: 0.6 % dans le groupe des vaccinés – 0.5 %

dans le groupe placebo 8


Efficacité du vaccin (suivi de moins de 2 mois)

- 18 325 des participants ont reçu un placebo

o 162 ont eu le covid-19 après 7 jours après la 2ième dose : 0,88% o 3 avec covid-19 sérieux après 7 jours après la 2ième dose

- 18 198 des participants ont reçu le vaccin

o 8 ont eu le covid-19 après 7 jours après la 2ième dose : 0,04 % o 1 avec covid-19 sérieux après 7 jours après la 2ième dose

   

- Autrement dit, pour les infections graves de covid-19, le gain dû au vaccin est de 0,01% (3/18325 (placebo) moins 1/18198 (vaccin)) (efficacité du vaccin 66,4%). Des événements indésirables graves sont observés dans 0.5% des vaccinés.

Ou nous pouvons attendre des réactions indésirables graves chez ≤ 4,6% des vaccinés (si <55 ans) ou chez ≤ 2,8% des vaccinés (si >55 ans).

   

 - Cela signifie que, sur 11 millions de Belges, la vaccination :

- protégera 1100 personnes contre une infection grave par le covid-19

- pourra entraîner des événements indésirables graves chez 55000 personnes.

- Ceci est-il un profil de sécurité (à court terme) acceptable ?

   

Selon le rapport "V-Safe Active Surveillance for covid-19 vaccines" publié par le CDC (Centre américain pour la prévention et le contrôle des maladies), les premières indications des "health impact events" (HIE – évènements de santé) observés montrent un nombre alarmant de réactions indésirables au vaccin à ARNm.



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Le 18 décembre, 112807 personnes avaient reçu une injection du vaccin Pfizer/BioNTech aux États-Unis. Parmi eux, 3150 étaient incapables d'exercer leurs activités quotidiennes, ne pouvaient pas travailler, avaient besoin de soins de la part d'un médecin ou d'un professionnel de la santé. Il s'agit d'un HIE de 2,8 %.


B2. Réactions anaphylactiques

Ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech :

ARN messager (ARNm) simple brin hautement purifié, coiffé en 5', produit par transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d'ADN correspondantes : ((4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldécanoate) (ALC-0315), 2-[(polyéthylène glycol)- 2000]-N,N-ditétradécylacétamide (ALC-0159), 1, 2-Distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine (DSPC), Cholestérol, Chlorure de potassium, Dihydrogénophosphate de potassium, Chlorure de sodium, Phosphate disodique dihydraté, Saccharose, Eau pour injection.4

Ingrédients du vaccin Moderna :

ARN messager (ARNm) monocaténaire, 5'-capoté, produit par transcription in vitro sans

cellule, codant pour la glycoprotéine Spike (S) stabilisée en pré-fusion du SARS-CoV-2.

Lipide SM-102, Cholestérol, 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine (DSPC), 1,2-dimyristoyl-rac-glycéro-3- méthoxypolyéthylène glycol-2000 (PEG2000 DMG), Trométhamol (Tris), Chlorhydrate de trométhamol (Tris HCl), Acide acétique, Acétate de sodium trihydraté, Sucrose, Eau pour injection 9


 Des réactions anaphylactiques ont été signalées suite à la vaccination avec ces 2 vaccins9 , à tel point que le CDC a créé une page supplémentaire :

"Considérations provisoires : Se préparer à la gestion potentielle de l'anaphylaxie après la vaccination par COVID-19" 10


Un traitement médical approprié pour les réactions allergiques graves doit être immédiatement disponible dans le cas où une réaction anaphylactique aiguë se produit suite à l'administration d'un vaccin à ARNm COVID-19.


Le PEG (polyéthylène glycol), présent dans les vaccins, a un effet immunisant et donne lieu à la production d'anticorps anti-PEG. Comme le PEG est présent dans des milliers de produits de consommation et de médicaments11, le risque existe que de plus en plus de personnes sans allergies connues développent de graves réactions d'hypersensibilité induites par le PEG.12


B3. Antibody Dependent Enhancement (ADE) : l'effet facilitateur

Les maladies associées aux vaccins (VAED) et les maladies respiratoires associées aux vaccins (VAERD) ont été observées dans des études sur animaux lors du développement de vaccins contre le SARS-CoV-1, ainsi qu'avec l'utilisation du vaccin contre le VRS (virus respiratoire syncytial). 6, 13, 14, 15, 16 Une explication en est la facilitation de l'infection par des anticorps (ADE), phénomène se produisant lors d'une infection virale, quand des anticorps non neutralisants de l'hôte facilitent l'entrée du virus dans les cellules hôtes, et parfois aussi sa réplication. Il confère à certains virus une infectiosité et une virulence accrues.

L'ADE est un problème courant avec le virus de la dengue, le virus Ebola, le VIH, le VRS et la famille des coronavirus, en particulier ceux liés au SARS.17 Cela se traduit par une réaction immédiatement hyperinflammatoire, une tempête de cytokines et une perturbation du système immunitaire permettant au virus d'endommager rapidement poumons et autres organes.

De tels effets secondaires ne peuvent être évalués que par une étude à long terme.

B4 Quelques questions critiques


Grossesse et allaitement

« On estime qu'il n'y a actuellement pas de données suffisantes quant à la sécurité de l'utilisation du vaccin chez les femmes enceintes.4» «Toutefois, l'utilisation chez les femmes en âge de procréer peut être conseillée à condition que les professionnels de santé puissent exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Par mesure de précaution, il est conseillé aux femmes en âge de procréer d'éviter de tomber enceintes jusqu'à au moins 2 mois après la vaccination. On ignore si le BNT162b2 est excrété dans le lait maternel. Il est donc recommandé de ne pas administrer le BNT162b2 aux femmes qui allaitent.6 ».


Dans une pétition du Dr Wolfgang Wodarg, cosignée par Michael Yeadon, ex-OSC chez Pfizer, les préoccupations suivantes ont été soulevées :

La syncitine-1, responsable de la formation du placenta et nécessaire à une grossesse réussie, se trouve également sous forme homologue dans les protéines de surface (protéine spike) des virus du SARS. Or il n'y a pas eu d'études pour évaluer le risque de réaction croisée entre la protéine de surface et la Syncitine -1, réaction croisée qui empêcherait la formation du placenta est induirait donc la stérilité pour les femmes vaccinées.

De tels effets secondaires ne peuvent être évalués que par une étude à long terme.

         

Possibilité de développer des maladies auto-immunitaires ?

Lorsque l'ARNm donne aux cellules de notre corps la tâche de fabriquer des protéines virales de surface, une expression de ces protéines se manifeste à la surface de nos propres cellules. Or il n'y a pas eu d'étude pour évaluer le risque que notre système immunitaire attaque ces cellules et développe ainsi des maladies auto-immunitaires.19


De tels effets secondaires ne peuvent être évalués que par une étude à long terme.

L'incorporation de l'ARNm dans notre matériel génétique ?

Il a été affirmé à maintes reprises, et avec raison, que l'ARNm ne peut pas s'incorporer spontanément dans notre génome (ADN).

Cependant, un grand nombre de rétrovirus (dont par exemple le HIV et les spumavirus qui ne déclenchent pas de signes d’infection), possèdent des transcriptases inverses et des intégrases permettant de transformer l'ARN simple brin en ADN et de l'incorporer dans notre génome. Certain de ces rétrovirus sont « dormants » et donc présents sans que nous en soyons conscients.

De plus 8 à 17% de notre génome est constitué de matériel d'origine viral, provenant d'anciennes infections par des rétrovirus, et facteurs de l'évolution darwinienne. Des recherches récentes ont montré que certaines de ces séquences pourraient même créer spontanément une transcriptase inverse.20 21 Le risque d'intégration de l'ARNm injecté dans notre génome sous forme d'ADN est donc réel, sans que nous puissions le chiffrer en l'absence d'études adéquates. A noter que l'étude de Pfizer comprenait 120 participants séropositifs, mais les analyses de sécurité ne sont pas encore disponibles pour ce sous- groupe.6

De tels conséquences sur l'individu vacciné et sur sa descendance ne pourront être évaluées que par des études à très long terme.



PHOTO 2 : B5 Effets secondaires possibles du vaccin covid-19 présenté par la FDA22



   

2. L'efficacité des vaccins covid-19 a-t-elle été suffisamment démontrée ?


Concernant le vaccin Pfizer-BioNTech :

    Si nous partons des chiffres indiqués dans le rapport de la FDA du 10 décembre 8 (18 325 participants ont reçu un placebo, 162 ont eu le covid-19 après la 2° dose, 3 avec un covid-19 sévère / 18 198 participants ont reçu le vaccin, 8 ont eu le covid-19 après la 2° dose, 1 avec un covid-19 sévère) nous voyons ce qui suit :

- L'efficacité annoncée de 95% est en fait une réduction relative du risque (RRR): RRR= 100% x (1 – (8/18198)/(162/18325)) = 95%

Par contre, la réduction absolue du risque (RAR) est de 0,84% :

RAR= 162/18325 - 8/18198 = 0,0084 = 0,84%.

 - Si nous répétons cela avec les personnes gravement malades de l'étude : RRR : 100% x (1 - (1/18198)/(3/18325)) = 66,43%.

RAR : 3/18325 - 1/18198 = 0,0001 = 0,01%.

Nombre de personnes à traiter (NNT) : 100%/0,01% = 10.000

 Nous devons donc vacciner 10.000 personnes pour avoir une personne gravement malade en moins ! Et ce, avec un vaccin pour lequel nous ne disposons pas encore de données de sécurité suffisantes.


  - L'impact de la vaccination sur la propagation du virus SRAS-CoV-2 n'est pas encore connu. On ne sait pas encore dans quelle mesure les personnes vaccinées peuvent encore être porteuses du virus et le propager.1


- Les données sur la protection par le vaccin après 2 ou 3 mois ne sont pas encore disponibles.6

- Les données sur les personnes de plus de 75 ans sont limitées (environ 1500 personnes, dont la moitié ont été vaccinées). L'incertitude quant à l'efficacité du vaccin dans ce sous-groupe demeure.6

- Il n'existe pas de données sur l'administration simultanée d'autres vaccins, par exemple contre la grippe, ou sur l'interaction avec des médicaments.6

- Il n'y a pas de données sur les femmes enceintes et les patients immunodéprimés, car ils ont été exclus de l'étude.6

- Il n'existe actuellement aucune information sur les adolescents (12-15 ans), car ils n'ont été inclus que récemment dans l'étude.6

- Sur les 43 000 participants à l'étude, plus de 19 000 ont été suivis pendant au moins deux mois après l'administration de la deuxième dose de vaccin ou du placebo.6 L'autre moitié n'est plus suivie ?

- Peter Doshi, co-rédacteur en chef du BMJ (British Medical Journal) , pose les questions suivantes 5:

o Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR (sans précision du nombre de cycles), 8 dans le groupe vacciné et 162 dans le groupe placebo. Mais ces chiffres sont contestés par une catégorie de malades appelée "covid- 19 suspectés", ceux qui présentent une symptomatologie de type covid-19 mais qui n'ont pas été confirmés ou infirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA du 10 décembre 2020 8, il y a eu au total 3410 cas de covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population totale de l'étude, 1594 dans le groupe vacciné et 1816 dans le groupe placebo. Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de malades ne peut pas être simplement ignorée. Une estimation approximative de l'efficacité du vaccin contre les symptômes du covid-19 avec ou sans PCR positif donne une réduction du risque relatif de 19% (bien en dessous du seuil d'efficacité de 50% imposé pour l'autorisation du vaccin)23. Même si nous soustrayons les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 dans le groupe vaccin et 287 dans le groupe placebo), dont la plupart peuvent être dus à la réactogénicité à court terme du vaccin, l'efficacité du vaccin reste faible : 29%.

Ni le rapport de 92 pages de Pfizer ni la publication de l'étude dans le NEJM ne mentionne ces 3410 cas suspects de covid,. Il en est de même dans le rapport du vaccin Moderna. Ces données ne figurent que dans le rapport de la FDA.

o Dans ce même rapport de la FDA8, une autre question se pose, pour laquelle davantage de données sont nécessaires. 371 personnes ont été exclues de l'analyse d'efficacité en raison de "changements significatifs dans le protocole 7 jours après l'administration de la deuxième dose", dont 311 dans le groupe vacciné et 60 dans le groupe placebo, ce qui semble déséquilibré. (À titre de comparaison, dans l'étude Moderna 24, 36 participants ont été exclus : 12 dans le groupe vacciné et 24 dans le groupe placebo).


Quelles modifications ont été apportées au protocole et pourquoi cinq fois plus de personnes sont-elles exclues du groupe de vaccination ?

Trop de questions restent sans réponse et trop de données manquent pour conclure que l'efficacité du vaccin a été démontrée de manière suffisante et transparente.

     


En résumé, à l'heure actuelle (1 an après l'apparition du SRAS-CoV-2), les données sont insuffisantes, tant sur la sécurité que sur l'efficacité des nouveaux vaccins, pour les administrer à grande échelle à la population.

Surtout pour une pandémie dont le taux médian de survie en cas d'infection est de 99,77%, et pour les personnes de moins de 70 ans 99,95%. L'IFR (taux de mortalité dû à l'infection) est calculé à une moyenne de 0,23%, comme le montre la méta-analyse du professeur Ioannidis, publiée sur le site de l'OMS. 25

Nous pouvons donc conclure que cette campagne de vaccination généralisée répond à la définition d'une expérience médicale pour laquelle le code de Nuremberg est applicable.

  

3. Qui assumera la responsabilité, ou qui pourra être tenu responsable, si ces vaccins ne s'avèrent pas aussi sûrs que les médias et le gouvernement prétendent ?

    

En tant que médecins, nous sommes confrontés au choix de coopérer directement ou indirectement, auquel cas nous pouvons également être tenus pour responsables. Nous avons choisi une profession qui nous place avant tout au service de l'humanité et de son bien- être, en respectant les grands principes du Serment d'Hippocrate :

"Primum non nocere" : d'abord ne pas nuire - "J'informerai mes patients correctement."

"Même sous pression*, je n'utiliserai pas mes connaissances médicales pour des pratiques contraires à l'humanité."

-

*Référence à la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 et au Code de Nuremberg de 1947. Son principal objectif est de prévenir l'abus des connaissances médicales d'un médecin, comme cela s'est produit pendant la Seconde Guerre mondiale, ou de prévenir l'abus des connaissances médicales d'un médecin par la pression commerciale de l'industrie pharmaceutique.

Que dit la Loi relative aux expérimentations sur la personne humaine 2004? 26

Art. 6 § 1: « une personne ne peut participer à une expérimentation que pour autant qu'elle y a consenti de manière libre et éclairée ». Ce consentement doit être donné par écrit.

   

Que dit la Constitution? 27

Art. 23 « Chacun a le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine ».

Ces droits comprennent notamment : le droit à la sécurité sociale, à la protection de la santé et à l'aide sociale, médicale et juridique;

Que dit le Code de Nuremberg de 1947 ?

Art. 1 Le consentement volontaire d'un être humain de chair et de sang est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement : il faut que la personne puisse exercer son libre choix, sans l'intervention d'un quelconque élément de force, de fraude, de tromperie, de coercition ou d'une autre arrière-pensée ou contrainte ; elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments de la matière en question pour lui permettre de prendre une décision éclairée et compréhensible. Le devoir et la responsabilité de déterminer la qualité

du consentement incombent à chaque personne qui initie, dirige ou participe à l'expérience. C'est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être impunément transféré à un autre.

Art. 3. L'expérience doit être conçue et fondée sur les résultats d'expériences sur les animaux et sur la connaissance de l'histoire naturelle de la maladie.

Art. 4. L'expérience doit être menée de manière à éviter toute souffrance et blessure physique et mentale inutile.

Art. 6. Le risque à prendre ne peut jamais dépasser celui déterminé par l'intérêt humanitaire du problème à résoudre par l'expérience.

Art. 10. Au cours de l'expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l'expérience à tout moment s'il a des raisons probables de croire que la poursuite de l'expérience est susceptible d'entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet.


Nous espérons que tous les médecins impliqués dans l'information aux patients et/ou directement à la vaccination n'oublieront pas de respecter les termes du serment d'Hippocrate et les dispositions du code de Nuremberg.


Bien à vous, »


Docs4opendebate https://docs4opendebate.be/fr/ Antenne belge du collectif Reinfocovid


Source de l’illustration 

https://www.egora.fr/actus-pro/insolite/65379-de-gaulle-se-serait-il-fait-vacciner

    


      

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