Autres sons de cloches !

vendredi 9 avril 2021

 



Le monde est contaminé par le plus périlleux des virus, celui de la pensée unique (Patrick Louis Richard) 


LES THÈSES DU GIEC SONT FAUSSES SELON JEAN-PIERRE BARDINET (*) 


Blog Médiapart - le 8 avril 2021


4 informations qui réduisent à néant la thèse du GIEC selon laquelle le CO2 aurait un effet mesurable sur la température.


En 1909, le physicien Robert Wood a mesuré que la chaleur ne quitte pas du tout le sol par rayonnement. Les échanges de chaleur se font essentiellement par convection. Le sol, dans une serre, aussi grande soit-elle, n'émet presque pas d'infrarouges... Curieusement, le modèle du GIEC est essentiellement radiatif, et ânerie suprême, il est appelé « effet de serre ».


En 2007, les variations réelles du CO2 dans l'air ont été présentées pour ces deux derniers siècles : elles dépassent souvent et longtemps

400 ppm! (90.000 mesures par voie chimique)


En 2015, le physicien JP.van Ypersele, ancien Vice-Président du GIEC, produit un livre qui ne présente aucune preuve de la culpabilité du CO2... Du reste, aucune publication, aucun ouvrage, n’apporte une preuve scientifique indubitable d’une action mesurable du CO2 sur la température.


En 2020, Seim et Olsen ont reproduit, en laboratoire, l'atmosphère : même avec 2 500 fois plus de CO2 ils n'ont pas mesuré d'élévation de la température de l'air dû à un hypothétique " rétro rayonnement".


Source : https://www.scirp.org/journal/paperinformation.aspx?paperid=99608


(*) Jean-Pierre Bardinet est Ingénieur ENSEM Nancy (École Nationale Supérieure d'Électricité et de Mécanique).


Voir aussi un autre article à ce sujet :


Dix constats climato-réalistes, pleins de bon sens et faciles à comprendre.


1°) Le CO2 n’est pas un polluant. C’est un gaz indispensable et irremplaçable à toute vie végétale et animale sur Terre. Ce n’est pas le CO2 qui cause la pollution de l’air des grandes villes, liée à la circulation automobile, au demeurant de mieux en mieux maîtrisée.


2°) Le taux de CO2 dans l’atmosphère a un impact très faible sur la température moyenne de la planète Terre, ne justifiant pas l’alarmisme ambiant généralisé. Cette affirmation scientifique résulte à la fois des mesures empiriques de la température et du taux de CO2 à toutes les époques, ainsi que de la physique du climat, fille de la thermodynamique et de l’étude des rayonnements.


3°) Depuis 1960, la teneur atmosphérique en CO2 est passée de 3 molécules d’air pour 10 000 à 4 molécules d’air pour 10 000. Cela n’a eu aucun impact sérieux sur le climat. En revanche, ce CO2 supplémentaire a dynamisé la croissance des végétaux. D’où de meilleurs rendements de l’agriculture, la réduction des famines, la bonne croissance des arbres et des forêts, et le reverdissement des déserts.


4°) La température de la Terre change constamment, à toutes les échelles de temps : glaciations il y a 10 000 ans, période chaude appelée « optimum médiéval » vers l’an mil, période froide appelée « petit âge glaciaire » entre 1400 et 1800. Nous sommes aujourd’hui à peu près à la moyenne du deuxième millénaire.


5°) Au vingtième siècle, on a observé un réchauffement de 1915 à 1945, puis un refroidissement de 1945 à 1975, puis un réchauffement jusqu’en 2000. Ceci selon un cycle de 60 ans. Depuis 20 ans, la température de la Terre est à peu près stable. Les spécialistes des cycles solaires s’attendent à un refroidissement à partir de 2020.


6°) Sur de grandes périodes de temps, ces changements permanents de la température de la Terre sont la résultante de nombreux cycles, d’origine astronomique : l’inclinaison de son axe de rotation, sa distance au Soleil, la position de ce dernier dans le système solaire, et, sur des périodes multi décennales, son activité magnétique, ses taches, les rayons cosmiques, etc. Ces cycles superposés, de durées différentes peuvent annuler leurs effets sur la température terrestre ou au contraire les amplifier. Dans le domaine de l’astronomie, tout change tout le temps, et ce sont ces changements qui entraînent les variations de température ou de climat.


7°) La notion de « gaz à effet de serre » est une image, pas une réalité scientifique. Il n’y a pas de vitre quelque part dans le ciel ! En revanche, certains gaz absorbent les rayonnements infrarouges et transforment leur énergie en chaleur. C’est la vapeur d’eau qui est le principal gaz absorbant les infrarouges renvoyés par la surface terrestre. Il y a environ 100 fois plus de vapeur d’eau que de CO2 dans l’atmosphère.


8°) Les émissions de CO2 par l’Humanité depuis les années 1950 restent quantitativement très modestes, par rapport aux grands flux naturels entre les grands réservoirs de CO2 que sont l’océan mondial qui contient 39 000 milliards de tonnes de carbone sous forme de CO2 dissous, la végétation mondiale sur les continents, et l’humus des sols. Seuls 6 % de CO2 supplémentaires d’origine fossile sont venus s’ajouter dans l’air que nous respirons, depuis le début de la révolution industrielle en 1750. Ce qui est insignifiant.



9°) Toutes les politiques de réduction des émissions de CO2 sont et seront inefficaces, inutiles et très coûteuses. Elles ne changeront rien à la température de la Terre ni au climat. La France seule ne produit que 1 % des émissions de CO2, ce qui est très faible par rapport à la Chine, l’Inde, les États-Unis, qui continuent à en émettre massivement. À ce jour, 84 % de l’énergie produite et consommée dans le monde vient des combustibles fossiles2. Les politiques françaises et européennes de lutte contre les « gaz à effet de serre », pour une économie « décarbonée », sont des boulets inutiles qui vont détruire la compétitivité de nos économies et réduire drastiquement le pouvoir d’achat des ménages.


10°) La fiscalité sur l’énergie, instaurée pour « sauver le climat », est devenue insupportable, comme en témoignent la révolte des « bonnets rouges » suivie de la révolte des « gilets jaunes ». Les lourdes taxes sur les carburants et l’électricité servent à financer des énergies très intermittentes, éolienne ou solaire, à faibles facteurs de charge, donc peu productives, et dont le « bilan carbone » espéré est médiocre ou nul, contrairement aux objectifs prétendus par leurs promoteurs.

Ces taxes sont à la fois inutiles pour le climat et injustes. Elles pénalisent les plus défavorisés. Il faut poursuivre le combat contre la « transition énergétique ». Et poursuivre, sans culpabilité inutile, sans les taxer et tant qu’il en reste, l’usage des combustibles fossiles, pétrole ou gaz, car cela n’aura aucun impact significatif sur le climat. Soutenu officiellement par les Nations unies, le nucléaire de quatrième génération est très sûr, ne produit quasiment pas de déchets et prend progressivement le relais. Avec, pour la France, un stock de matière fertile assurant son indépendance pour 5 000 ans. À cette échelle de temps, la véritable énergie renouvelable est le nucléaire. (Extrait de l’article)


Jean-Pierre BARDINET et Henri VORON


Voir l’article complet ici : https://www.breizh-info.com/2020/06/17/145649/environnement-les-dix-constats-climato-realistes/?fbclid=IwAR2CdgUi5Nt6x_XlUQFq4rF91dQrfVsyqHCkRBjnb5TyNHa-2V6OzuRwvsc




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