Autres sons de cloches !

dimanche 31 janvier 2021

 


EST-ON ALLÉ DROIT DANS LE MUR AU SUJET DE LA VACCINATION ?

Par Stella Stellina - Notre Bon Droit - 30.01.2021


Cela y ressemble, en tout cas, d'après Christophe De Brouwer, professeur d'épidémiologie à l'ULB.


Les vaccins ne protègent pas des variants.

Les études sortent les unes après les autres qui montrent ce que nous suspections depuis longtemps : le vaccin-thérapie génique arn mono-antigène protégerait moins bien ou pas du tout contre certains nouveaux variants (notamment les mutations conjointes 501-484, soit le variant anglais, sud-africain et japonais notamment), sans oublier le problème de sélection virale déjà évoqué dans ces colonnes. (NDR: dans les autres posts Facebook de M. De Brouwer).

Donc, outre des problèmes de tolérance très réels, décès, effets généraux graves, effets locaux sévères, il fonctionne moins bien ou même pas du tout face à certains nouveaux variants.


Faut-il, dès lors, arrêter la vaccination antigénique ARN et se donner le temps d'examiner la situation?

Voici deux études qui étudient la résistance des nouveaux variants sars-cov-2 aux vaccins actuels arn et d’autres études arrivent (clic) et (clic)

Et continuons à affirmer, données à l’appui, que le variant dit anglais est chez nous en Belgique depuis bien longtemps, bien avant les vacances de Noël, n’en déplaise à nos « experts » qui racontent n’importe quoi, selon mon avis (regardez les noms repris par le document).


En effet, on détecte la mutation N501Y (ou variant B.1.1.7) au 30 novembre 2020 (cela veut dire que le variant est là depuis plus longtemps encore, parce qu’on fait peu de séquençage en Belgique, dommage : c’est donc un coup de « chance » d’être tombé dessus), notamment dans un cluster partagé avec les Pays-Bas de porteurs du variant dit anglais. (clic)


Ils les créent.

Les essais cliniques du vaccin AstraZeneca sont-ils à l'origine de l'apparition des variants britanniques et sud-africains ? La question se pose sérieusement!


L'Agence Européenne des Médicaments (EMA) vient de donner un avis favorable à une autorisation conditionnelle au vaccin de AstraZeneca (AZ), et que la Commission Européenne doit encore confirmer l'avis de l'EMA.

Est-ce une bonne idée? Beaucoup espère une alternative aux vaccins à ARN et placent leurs espoirs dans des vaccins par encore tout à fait classiques mais tout du moins, mieux connus que les nouvelles technologies: les vaccins à vecteur viral, AstraZeneca et Jonhsson et Johnsson.


Le vaccin AstraZeneca est un vaccin OGM (comme celui de Johnson), fondé sur une technologie à vecteur viral, construit à partir d'adénovirus de chimpanzé.

Baptisé AZD1222 ou ChAdOx1 nCoV-19, le vaccin OGM recombinant de AstraZeneca est le fruit d'un deal avec une start-up, VacciTech, issue de l'université d'Oxford.

Les essais cliniques du vaccin AZ, entamés depuis l'été 2020 en UK, Afrique du Sud et Brésil, ont été suspendus quelques jours en septembre 2020, en raison de cas de myélite transverse de participants des études menées en UK et aux USA.

L'hypothèse posée est donc que les variants UK, Sud-Africain et Brésilien du virus Covid résulteraient des essais cliniques phase 3 menés entre juin et septembre 2020 en UK, Afrique du Sud et Brésil.


Pourquoi?

Il y a, bien entendu, l'étonnante synchronicité entre l'apparition des variants et les pays ayant abrité les essais de phase 3. La concordance est frappante.

Mais surtout, il y a le fait que les variants britanniques et sud-africains du virus reposent sur des mutations de la protéine S, (la spike ou spicule) qui est l'objet de toute les attentions du vaccin OGM a vecteur viral développé par l'Université d'Oxford et AstraZeneca.


Concordance des lieux d'apparition, et concordance de la localisation des mutations, donc: difficile, dans ces conditions, d'exclure l'hypothèse que les deux ou trois principaux variants qui affolent le monde actuellement résultent des essais cliniques menés par AstraZeneca.


La dissémination massive du vaccin OGM à vecteur viral de chez AZ, véritable virus "mosaïque" combinant des matériels génétiques de deux virus : l'adénovirus de chimpanzé et du coronavirus Sars-Cov-2, ouvre un risque potentiel inédit : celui de multiplier à un rythme sans précédent les événements de recombinaisons génétiques! (clic)


Et la transparence, bordel?!

De même qu'avec les contrat Pfizer et Moderna, la Commission européenne nous a fait le plaisir de mettre en ligne le contrat signé avec AstraZeneca (clic)

Le plaisir? Il ne fallait pas rêver de transparence: compte-tenu des règles en vigueur, les informations dites sensibles et confidentielles sont masquées en noir.

Y aurait-il quelque chose à cacher?... (Extrait de l’article)


Voir l’article source complet ici :

https://notrebondroit.be/vaccination-ati-covid-droit-dans-mur


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